Sujet: Donnez moi le mode d'emplois Mar 27 Jan - 11:47
Jascianne & Assam
Se marier, un mariage. Encore quelque peu hébété et pas moins Zélée en dépit du fait qu'elle appréhendait, Assam savait le devoir qui l'attendait. Se marier avec Emeruil et lui donner un héritier, elle en devrait les cuisses écarter. Il promettait une certaine tendresse, un attention particulière à sa condition de vierge et sans savoir pourquoi, elle voulait aussi y mettre du sien. Sans doute son âme de capitaine et de femme d'arme qui resurgit, ne désirant pas avoir le travail de mâché. Qui pourrait l'aider dans ces choses ? Elle se passa une main sur le visage, prit sa plume et n parchemin, se décidant à écrire un message à l'intention de Jascianne, matrone d'un bordel et amante d'Emeruil... Elle pourrait sans doute l'éclairer...
« Dâme Jascianne,
Moi, Assam, Capitaine et mérite du Général Shanion, demande la possibilité de m'entretenir avec vous ce jour même dans l'intention d'obtenir un cours de conduite entant que futur.... épouse. D'avance je vous remercie pour le temps que vous allez 'accorde et que je vous dédommageais.
Assam. »
Elle appela un messager et fit porter sa missive. Elle se regarda dans le miroir. Elle n'avait rien d'une épouse, et pas grand chose d'une femme. Cette poitrine quelle brimait sous cette armure, ses cheveux long mais toujours tressé, son regard dur et froid. Elle se demandait quelque fois si elle avait choisit la bonne voie, si ça vie avait pu être différente si ses rencontres avaient été toute autre. Sans aucun doute. Elle observait son reflet et se sentait étrangère à elle-même. Secouant la tête elle devait se ressaisir, elle n'avait pas à songer à tout cela. Elle devait faire son devoir, mais sortirait-elle seulement indemne de cette nouvelle mission ? Elle avait toujours voulu le pouvoir, ce n'était pas une nouveauté, mais être l'impératrice de ce nouveau monde qui se présente ? Elle partageait ces idéaux, sans quoi elle aurait fuit ou se serait faite tué depuis bien longtemps. Elle regarda sa garde-robe, des armures et des tenue de combat pour la plus part. Elle n'avait aucune robe, elle pinça ses lèvres charnue. Elle décidé d'enlever cette armure qui brimait son opulente poitrine pour enfiler une tunique et un pantalon de tissus. Simple mais dans de belles étoffes agréables, Assam avait toujours conservé son goût pour les belles choses. Elle déjeune frugalement avant de finalement se mettre une cape et de sortir, un poignard à la taille, une épée, une dague dans sa tunique... des trident au niveau de ses fesses, un couteau dans sa botte, on été jamais trop prudent. Rapidement elle arriva devant cette institution dédiée aux hommes, elle regarda la porte avant de soupirer et d'enter. Des regard circonspect, Assam était connue.
« J'ai rendez-vous avec Jascianne. »
Et elle sommait qu'on la conduise à elle, elle attendit devant la porte, attendant qu'on l'annonce.
Sujet: Re: Donnez moi le mode d'emplois Dim 15 Fév - 8:16
Donnez moi le mode d'emploi
Assam ♦ Jascianne de Dunharrow
La matrone reposa la missive, un air circonspect sur le visage. Des cours de conduites en tant que futur épouse… Un sourcil toujours plus relevé que l’autre, les nœuds du bois de la porte lui semblèrent tout à coup d’un intérêt nouveau. Emeruil s’était bien vanté dernièrement de son futur mariage lorsqu’il s’engageait à la travaillé au corps, mais elle n’avait pas jugé opportun de lui demander le nom de la malheureuse élue. Se pourrait-il… Elle ne portait aucune personne arborant les couleurs izzal dans son cœur, mais tout de même elle n’était pas assez cruelle pour désirer qu’une quelconque femme devienne le jouet privé de ce monstre aussi sanguinaire que cruel et mégalomane. Le messager attendait encore devant elle, cloué au sol comme un arbre dans la terre. Elle reposa le pli sur son bureau avant de s’éclaircir la gorge. « Bien, je recevrais le capitaine dans ce cas. Vous pouvez disposer, jeune homme. » Il s’inclina et vida les lieux alors que la grande blonde portait ses mains jointes au niveau de ses lèvres. Apprendre les secrets de la chaire à un capitaine, une femme hors de son monde quotidien, voilà qui promettait d’être… perturbant. Elle avait l’habitude, oui, de former des novices à devenir de bonnes maîtresses pour les hommes fréquentant cet établissement, mais pas les femmes comme Assam. De plus, elle n’avait jamais été l’épouse de quiconque et doutait d’avoir les qualités requises pour cette aspect de la requête. Même à Dunharrow, Maudus n’avait pas spécialement veillé à ce qu’elle eut l’éducation d’une épouse, remettant cela à quand elle serait enfin fertile. La question fût bientôt remise à plus tard, lorsqu’une des pensionnaires arriva en panique annonçant l’accouchement imminent d’une autre. L’hiver bloquant le passage à beaucoup de chose et faisant naître des maladies, Jascianne savait qu’elle devrait s’occuper elle-même de cela. La plus proche sage-femme se trouvant à l’autre bout d’Edoras, l’enfant risquait d’être né avant qu’elle n’arrive. Dans l’urgence, elle ne prit pas le temps de prendre des dispositions pour qu’on prévienne sa nouvelle élève qu’elle risquait d’être en retard. Du reste, cela pourrait lui apprendre la patience, car en sexe comme dans beaucoup de chose, cela nécessite de la patience. L’enfant né, la matrone s’en retourna à son bureau en s’essuyant les mains qu’elle venait de lavé. Encore un pensionnaire qui finira sa vie soit en orphelinat, soit à la rue une fois adolescent. Peut-être devrait-elle songé à ouvrir une aile pour que les femmes profitent des prestations des hommes. Ce serait une idée à creuser. Lorsqu’elle arriva non loin de son lieu de résidence principal, elle aperçut alors la petite congrégation qui l’attendait, dont Assam. « Inutile de frapper, je ne suis pas là. » Sinon, comment pourrait-elle être ici ? Elle congédia le garde d’un geste de la main et invita la jeune femme à entrer dans son bureau avant d’en faire de même et de fermer la porte derrière elle. « Je suis charmée de votre demande, capitaine, mais je crains qu’en matière de comportement d’épouse, je ne sois une bien piètre institutrice. Non, à franchement parler, que souhaitez-vous de moi ? » Demanda-t-elle alors qu’elle se débarrassa du chiffon humide et prenait place sur son siège. Oui, elle voulait entendre de sa bouche qu’elle souhaite apprendre à combler un homme dans l’exercice le plus charnel. Le dire, c’est déjà accepter ce qui se passera. Le dire, c’est déjà faire un pas vers la connaissance. « Appelons un chat, un chat voulez-vous ? Ici, je peux vous apprendre à baiser tout ce qui a un pénis entre les jambes et même à combler une autre femme. Je peux aussi vous apprendre à faire l’amour à un homme que vous aimez ou à vous combler vous-même dans la moiteur de vos nuits solitaires. Alors, quel est le sujet qui vous préoccupe, Assam ? Ici, point de bien séance et de jolis mots pour ne pas désigner les choses par leur nom. Je ne mâche pas mes mots, je n’ai pas peur d’appeler un pénis, un pénis ou un vagin, un vagin. Ce métier, je l’exerce depuis que j’ai quinze ans et j’ai appris à un nombre plus que convenable de fille à faire de même, mais jamais à une future épouse. Je suis honnête avec vous, alors soyez-le avec moi. Si vous vous contentez de me demander de vous instruire sur la conduite d’une future épouse, je crains ne pas pouvoir être d’un grand secours. »